Open Map
Close Map
N
Projections and Nav Modes
  • Normal View
  • Fisheye View
  • Architectural View
  • Stereographic View
  • Little Planet View
  • Panini View
Click and Drag / QTVR mode
Share this panorama
For Non-Commercial Use Only
This panorama can be embedded into a non-commercial site at no charge. Read more
Do you agree to the Terms & Conditions?
For commercial use, contact us
Embed this Panorama
WidthHeight
For Non-Commercial Use Only
For commercial use, contact us
LICENSE MODAL

0 Likes

Lambretta Gmz Motos anciennes Cap Horn Quimper 0055

Lambretta

Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, l'entreprise Innocenti, spécialisée dans le tube industriel en acier, voit, comme la majorité de l'industrie Italienne, son activité reprendre fortement.
À la recherche de nouveaux marchés pour étendre son champ d'action, Ferdinando Innocenti tournera ses pas vers un besoin particulier de la nouvelle vie civile : le transport populaire.
À l'instar de Piaggio et sa Vespa, le scooter allait devenir le produit principal d'Innocenti.
La maison Innocenti dessine son premier scooter (dit modèle A) en 1947 dans son usine de Lambrate près de Milan.
L'endroit donnera son nom au scooter et à la marque : Lambretta. Elle fera figure d'icone au sein du mouvement Mods.
Le Lambretta A est un scooter biplace à moteur central monocylindrique 2 temps,123 cm3, avec transmission par arbre sous carter faisant bloc avec le moteur. Il possède trois vitesses au pied et atteint les 70 km/h sur ses roues de 8 pouces. Le châssis tubulaire comprend une partie centrale à section carrée surmontée de tubes ronds portant selle, réservoir et coffre. Il n'y a pas de suspension arrière.
Il est suivi, en 1948, par le modèle B, assez similaire, mais avec une suspension arrière, des roues plus larges, une commande des vitesses par poignée tournante et un compteur de vitesse.
En 1949 apparaît le premier triporteur sous la marque LAMBRO sur une base de modèle B.
1950 voit l'arrivée du modèle C qui abandonne le cadre à section carrée pour un cadre monotube rond, mais conserve la même disposition de base sous un aspect simplifié, réduit à l'essentiel.
Une version luxe du C est produite avec des ailes pour couvrir le moteur et un tablier complet : le Lusso C ou LC.
Après quoi, sortira, en 1951, le modèle D en 125 et 150 cm3, très proche du C, avec un refroidissement par air forcé pour le 150D et une vitesse maximum de 80 km/h ! La version carénée suit également, c'est le fameux LD qui sera produit jusqu'en 1959 en 125 et 150 cm3 pour 5 et 6 cv, y compris en France près de Troyes.
Le LD se fera au fil des années d'emploi une solide réputation de fiabilité auprès de ses utilisateurs, et son moteur centré lui donnera également une prétendue meilleure tenue de route que son concurrent Vespa .
Des essais de scooters économiques seront aussi réalisés avec les modèles F et E, forcément moins prestigieux. Ils sont plus rares aujourd'hui .
1957 sera un tournant pour les scooters Lambretta. Le Turismo Veloce 175 apparaît. C'est un design entièrement neuf, toujours sur châssis tubulaire avec deux particularités qui suivront maintenant Lambretta jusqu'à son extinction : le moteur horizontal refroidi par air forcé et le garde-boue avant fixe.
Le TV 175 serie I se veut sportif, équipé de 4 vitesses, de roues de 10 pouces, son 175 cm3 de 8.6 cv lui permet de dépasser (de peu) le mur des 100 km/h . Il porte encore le feu avant dans le tablier et est équipé en série d'une grande selle biplace. Produit jusqu'en 1959, son moteur souffre de soucis de jeunesse et d'une étonnante fragilité.
Sur la même base, Innocenti sort les LI 125 et 150, plus populaires avec leur deux selles individuelles et des performances de 75 et 85 km/h. Le LI série I bénéficie d'un moteur horizontal fiabilisé, à transmission par chaîne sous bain d'huile, qui demeura la base technique de tous les moteurs Lambretta à suivre.
La série II en 1959 transformera un peu les TV 175 et LI 125 et 150 en déplaçant le feu avant dans le guidon et apportera quelques menus modifications techniques et avancées dans les performances.
La série III sort en décembre 1961, pour une fois le modèle populaire LI est le premier à être traité .
Le changement est assez drastique, la ligne ronde et curviligne des séries I et II est abandonnée au profit de ce qu'on appellera la " Slim line" (ligne étroite). La ligne générale du scoot est beaucoup plus tendue, et le voir de dos suffit pour comprendre le nom de la ligne .
Mais il y a plus qu'un changement de ligne unique, le TV 175 série III sort en 1962 avec une évolution supplémentaire de la slim line : guidon avec feu octogonal, nouvelle descente et grille de klaxon, garde-boue redessiné . Nouvelle avancée technique, le TV est un des premiers deux-roues équipé de série d'un frein avant à disque (mécanique, flottant dans le moyeu). Il sort tout d'abord avec les mêmes ailes que le LI, mais bénéficie bientôt d'un nouveau design d'ailes.
Le TV partagera d'ailleurs son design (hormis le frein à disque) avec le LI 150 Special (1963) modèle intermédiaire entre le populaire LI et le sportif TV . Sur cette base seront déclinés les Special 125 et SX150 quasi identiques au Special, et le SX200 en 68 avec frein à disque, dont la nouvelle paire d'ailes cache un 200 cm3 de 11 cv, donné pour 107 km/h.
Innocenti fera aussi quelques tentatives de design type Vespa avec coques autoporteuses (Cento, J50...) pour des résultats et des succès très relatifs.
Innocenti Lambretta Lui
En 1968, la firme fait appel aux services du designer auto Bertone pour ses nouveaux modèles. Il va tout d'abord concevoir une nouvelle gamme de petites cylindrées avec les Vega, Lui, sorte de scooters minimalistes et futuristes, trop peut-être. La niche marketing que le Ciao de Piaggio prendra plus tard échappe à Lambretta : il est trop tôt.
En 1969, Bertone pousse la Slim line à son paroxysme, en tirant encore plus les lignes et en adoptant l'esthétique et le feu rectangulaire à la mode pour les voitures de rallye de l'époque : ce sera le DL (De Luxe) 125, 150 et 200 . Les performances des 3 motorisations sont également revues à la hausse, le DL 200 (appelé Grand Prix sur le marché britannique) atteignant la barre des 110 km/h.
Ce scooter sera malheureusement le dernier des Lambretta.
La fin
Dès la fin des années 1960, Innocenti produisait déjà des minis. La firme sera finalement rachetée par British Leyland, qui stoppera la production des scooters. L'entreprise rencontrait déjà un certain nombre de problèmes, dus, selon les historiens officiels, à la situation du marché, l'action des syndicats, le manque de support des politiques et l'état de santé de Luigi Innocenti qui avait succédé à son père Ferdinando, décédé en 1966. La complexité de production des scooters Lambretta n'est sans doute pas étrangère non plus à cette situation, le nombre de pièces et les processus de construction étant, par exemple, beaucoup plus nombreux que ceux d'une Vespa.
Lambrettas français
En 1952, Fenwick a obtenu une licence pour la fabrication de scooters Lambretta en France. 200 000 scooters et 10 000 triporteurs ont été construits au cours des 10 prochaines années dans une usine à Saint-Julien-les-Villas. Production arrêtée en 1960 lorsque la demande a diminué1.
Lambretta et le sport
Les records sur circuit ou autoroute
Motivé par la concurrence avec Vespa et le besoin de reconnaissance, Lambretta s'attachera à battre des records de vitesse non seulement scooter, mais deux roues en général, entre 1949 et 1951 dans les catégories 125 et 175 cm3. Des versions diverses des modèles C et D, du légèrement caréné à la torpille battront plus d'une cinquantaine de records pendant cette période, jusqu'au km lancé à 201 km/h heure en 125 cm3, record après lequel Piaggio déclara finalement forfait. Ce record demeure encore à ce jour en seconde position dans la catégorie 125 cm3. À noter que beaucoup de ces records eurent lieu sur l'autodrome de Linas-Montlhéry.
Les courses sur routes[modifier]
Particulièrement prisées des Britanniques, les courses amateurs sur différents types de voies dans la même épreuve connurent un certain succès.
L'Île de Man, Mecque du Deux-roues motorisé, fut, par exemple, dans les sixties et début seventies, le théâtre sur ses routes improbables et ses sentiers de multiples épreuves du genre. Les série III purent croiser le fer avec les SS180 et rally de chez Vespa, en profitant des légendaires conditions météo du coin. Clou de l'épreuve, le passage à pleine vitesse du Druidhale, sympathique mare barrant l'un des sentiers du prétendu circuit. Qui a déjà tenu un guidon sur les minuscules routes de cette île comprendra aisément l'aspect totalement déraisonnable de ces épreuves, et donc leur attrait sans pareil... Beaucoup de lambrettistes accordent d'ailleurs aujourd'hui plus d'importances à ces épreuves amateurs qu'aux records d'usine, et les configurations racer qui leur sont attachées sont toujours très appréciées.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lambretta

View More »

Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 8672x4336
Taken: 04/09/2010
Uploaded: 11/10/2011
Views:

...


Tags: motorbike; scooter
More About Cornouaille

Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


It looks like you’re creating an order.
If you have any questions before you checkout, just let us know at info@360cities.net and we’ll get right back to you.