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Cap Coz feu d'entrée du port La Forêt Fouesnant Finistere

http://fr.wikipedia.org/wiki/Balisage

Balisage
Dans le domaine maritime, le balisage désigne l'ensemble des marques ou balises fixes ou flottantes placés en mer ou à terre qui indiquent aux navires les dangers et le tracé des chenaux d'accès aux ports et abris.
On distingue le balisage ou marquage latéral, utilisé pour définir le tracé des chenaux, et le balisage ou marquage cardinal qui est utilisé dans les autres cas.
Le balisage désigne également les règles (formes, couleurs) qui doivent être utilisées pour concevoir les balises. Le balisage respecte, dans l'ensemble des pays ayant une façade maritime, les règles définies par l'Association internationale de la signalisation maritime (AISM-IALA). Depuis 1980, une variante de ces règles est appliquée aux Amériques (Antilles incluses), au Japon et en Corée. Dans ces pays, dits de la zone B, la couleur du balisage latéral est inversée.
De manière générique une balise est définie comme un objet flottant ou fixé au fond de la mer ou à terre, permettant de faciliter la navigation ou de signaler un danger, ou un chenal. Il peut s'agir d'une bouée, d'une tourelle maçonnée ou d'une perche.
Hormis les perches, les balises sont constituées d'un « corps », d'un « voyant » qui coiffe le corps et éventuellement d'un « feu » qui permet d'identifier la balise de nuit. La signification de la balise est fournie par la couleur du corps, la forme, la couleur du voyant et dans certains cas la forme du corps. La nuit le feu, visible généralement sur plusieurs milles, permet d'identifier la balise par son rythme, sa couleur.
Certaines balises sont équipées de signaux phoniques de brume actionnés par la houle (une simple cloche, une corne) ou par une source d'énergie telle qu'une batterie alimentée par un panneau solaire ou une bouteille de gaz.
Les balises d'atterrissage des grands ports ou situées sur des grands axes de navigation (une vingtaine en France) peuvent être munies d'un système racon : il s'agit d'un émetteur transmettant un signal en forme de lettre du code morse sur la longueur d'onde 3 cm (voire 10cm pour certains) correspondant aux fréquences utilisées par les radars de navigation. Sur les écrans radars des navires apparaît alors l'écho de l'amer accompagné du signal en clair du type Morse. Ce système permet de confirmer l'identification de l'amer.
L'AIS est prévu d'être mis en place sur certains amers.
Le balisage est de 2 types :
le système latéral, utilisé pour baliser les chenaux et les passages vers/en provenance d'un port.
le système cardinal, utilisé dans les autres cas, il situe le danger par rapport à lui-même par les points cardinaux (nord, sud, est, ouest).
Le système cardinal
Les quatre marques cardinales et leur disposition par rapport au danger
Les marques cardinales sont au nombre de quatre et servent à baliser un danger par rapport à un point cardinal.
Les marques latérales servent à baliser un chenal, une approche de la terre. Leur voyant indique toujours de quel côté laisser la balise en rentrant ou en sortant du port.

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Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 8274x4137
Taken: 16/09/2011
Uploaded: 17/09/2011
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Tags: atlantic coast; seamark; mole; sunset; solar cells
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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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