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carpe 5.6kg la peche sportive Creach Gwen Quimper Finistere 8278

http://fr.wikipedia.org/wiki/Peche_sportive

La pêche sportive est un type de pêche ayant pour objectif le plaisir de la pratique et éventuellement la consommation de ses prises, sachant que leur vente est interdite (en France). Elle vise, par exemple, à capturer les plus grosses, ou le plus grand nombre de prises possibles en un temps limité. Elle nécessite généralement un équipement plus ou moins sophistiqué, de l'expérience, une bonne condition physique et d'une certaine patience.
Les pêcheurs sportifs font en principe preuve:
d'un « esprit sportif », forme de « respect de l'adversaire » qu'est le poisson, même si dans le cas de la pêche au vif le poisson-appât est inévitablement maltraité et tué. Il est ainsi de plus en plus fréquent, lorsque la technique de pêche le permet, que le poisson capturé soit relâché. Cette pratique se nomme le no-kill. Il arrive également que les prises soient conservées en vue d'une pesée et/ou pour la consommation personnelle et familiale.
de respect pour les règlementations, la loi, l'environnement, les règles de compétitions, etc.
La pêche sportive est parfois encadrée par des fédérations qui organisent des compétitions. En France, elle est représentée par trois fédérations qui disposent d'un agrément de délégataire de mission de service public délivré par le Ministère de la Jeunesse et des Sports, et qui sont membres du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) :
la Fédération Française de Pêche en Mer
la Fédération Française de Pêche Sportive au Coup
la Fédération française des pêcheurs à la mouche et au lancer.
La pêche peut se diviser en 2 grands types : la pêche en eau douce et en mer, et regroupe de nombreuses techniques.
La pêche en eau douce se compose de 4 types principaux de pêche.
La pêche au posé, ou ligne morte, ou ligne de fond consiste à présenter une esche aux poissons sur le fond. La ligne est donc composée principalement d'une plombée ou d'un amorçoir (feeder en anglais) ou d'un plomb (dont la forme peut varier d'après l'intensité du courant ou la nature du sol).
Il s'agit donc bien d'une pêche au lancer dont la touche sera détectée par un dispositif de contre-poids (écureuil, une boulette d'amorce sur le fil entre le moulinet et le premier anneau de la canne ou par un détecteur électronique cher aux carpistes. Elle peut aussi être détectée par l'intermédiaire de l'extrémité en mouvement de la canne à pêche, désigné dans ce cas par l'anglicisme « quiver tip » (scion (tip) qui remue (quiver)).
Pêche au coup
La pêche au coup est une technique qui consiste à attirer le poisson à un endroit déterminé appelé coup. Le principe parait simple, mais de nombreuses règles doivent être connues en fonction du lieu de pêche et de l'espèce de poisson recherchée. On ne peut pratiquer celle-ci que sur les rivières de deuxième et troisième catégorie (rivière lente, fleuve), les canaux, les étangs. Les espèces de poissons ciblées sont les poissons blancs : ablettes, gardons, brèmes, carpes, tanches, rotengles,barbeaux, id est sont ceux qui sont les plus pêchés par cette technique. Principe : à partir d'un mélange plus ou moins complexe de farines et de graines de toutes sortes, on confectionne une amorce qui sera lancée à une certaine distance du bord, déterminée par la longueur de la canne, en général entre 6 et 14 mètres. L'amorce par sa composition va attirer le poisson sur le coup, zone où l'on viendra pêcher avec une ligne flottante ou non. Cette pêche est sportive et de nombreux concours ont lieu dans de nombreux pays tant au niveau national qu'international. Il y a également des compétitions inter-nations. Les meilleurs pêcheurs sont sponsorisés par de grandes marques. Citons quelques grandes nations qui ont été championnes du monde : l'Angleterre, la France, la Belgique, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, ainsi que certains pays de l'est qui depuis quelques années sont souvent sur les podiums internationaux Il faut de nombreuses années de persévérance pour commencer à obtenir des résultats. Il y a peu d'écoles pour ce type de pêche, c'est l'écoute et les conseils des autres qui permettent d'évoluer dans cette discipline.
Pêche au toc
Article détaillé : Pêche au toc.
Cette pêche consiste à capturer la plupart des salmonidés des rivières de haute et moyenne montagne en utilisant des appâts naturels récoltés au préalable sur le lieu de pêche. Les appâts utilisés varient en fonction de la saison, de l'altitude et de l'état de l'eau. Il existe un matériel spécifique mais peut être choisi par rapport à la taille du cours d'eau que l'on souhaite prospecter. Une canne à l'anglaise fait parfois l'affaire pour ce mode de pêche.
Pêche au vif
Il s'agit d'une pratique partagée par les "pêcheurs au coup" (le coup étant le lieu où on pêche après avoir appâté, parfois plusieurs jours auparavant) et les "pêcheurs au lancer". Elle consiste à attirer les poissons carnassiers (par exemple silure, brochet, sandre ou perche, en rivière) à l'aide d'un poisson vivant fixé sur l'hameçon. Sur un coup amorcé pour la pêche de l'ablette il se produit un phénomène particulier que l'on nomme chasse, il peut s'agir de perches qui chassent en groupe où d'un sandre qui voit un brochet. Les ablettes sautent au-dessus de l'eau et s'enfuient dans tous les sens. La technique employée pour remédier à ce phénomène consiste à monter sur une canne à vif un poisson vivant esché sur un hameçon approprié. La patience est de rigueur et est souvent couronnée de succès. La plupart des pêcheurs au coup ont une canne à vif prête à l'emploi, la présence d'un poisson carnassier sur un poste peut gêner considérablement une partie de pêche. Pour cette raison certains pêcheurs emmènent dans un seau à vif quelques gardons qui serviront d'appâts.
Cette pratique est décriée par les protecteurs des animaux car elle induit beaucoup de souffrances pour l'appât vivant.
Pêche à la mouche
la pêche à la mouche au buldo.
Ces techniques consistent à imiter soit les insectes qui pondent leur œufs à la surface de l'eau (mouches sèches), soit l'éclosion de ces œufs (nymphes et émergentes), soit des insectes noyés ou en vie subaquatique (nymphes et noyés), soit des petits poissons (streamers). Les poissons comme l'ombre, la truite et les autres prédateurs étant consommateurs de ces insectes ou de ces poissons, ils mordent à l'hameçon. La pêche à la mouche permet de prendre tous types de poisson dans des milieux variés (eau douce, eau salée).
Une "mouche" est donc une imitation, nommée aussi "artificielle", qui tend soit à provoquer une attitude agressive de la part du poisson recherché (territorialité), soit à reproduire, plus ou moins parfaitement, l'insecte ou l'alevin dont le prédateur se nourrit. Cette artificielle est généralement faite par le pêcheur à la mouche lui-même en fixant sur l'hameçon divers matériaux, plumes et poils variés le plus souvent. Idéalement, cette activité de "montage de mouche" nécessite, outre une grande dextérité, une bonne connaissance de l'éthologie des salmonidés et une expertise certaine en entomologie mais reste praticable par tous.
La première description écrite de pêche à la mouche se trouve dans le Natura Animalium, où Claude Aelien (200 après J.C.) décrit une technique de pêche macédonienne consistant à leurrer des "poissons tachetés" (probablement des truites fario) à l'aide d'hameçons recouvert de laine rouge et cerclés de plumes de coq. Il est remarquable de constater qu'au xxie siècle c'est la même technique, pratiquement inchangée, qui permet aux "moucheurs" de leurrer des truites en imitant Ecdyonurus venosus (éphémère de la famille des Heptagéniidés).
Pêche au lancer
Cette technique est utilisée en lac, rivière, torrent de montagne et en mer, et se pratique à l'aide d'une canne à lancer équipée d'un moulinet. Les espèces recherché sont principalement des carnassiers notamment des: brochets, perches, sandres, mais aussi black-bass et silures. (Il est possible de rechercher des salmonidés comme les truites et les saumons "au lancer".)
On peut distinguer deux types de pêche au lancer, se différenciant notamment par le poids des leurres utilisés :
le "lancer" traditionnel
l'« ultra-léger »
la pêche au leurre
Le lancer traditionnel se fait à la cuillère, aux devons, aux poissons nageurs, aux leurres souples, aux « jigs », aux « spinnerbaits », aux « buzzbaits » et un tas d'autres leurres .
La cuiller est un leurre constitué d'un hameçon et d'une pièce métallique mobile et fixée en un point de l'hameçon.
Le devon est un leurre tournant.
Le poisson nageur est une imitation de petit poisson. Là aussi, ce sont les vibrations engendrées par le leurre qui provoque l'agressivité du poisson.
Le leurre souple est un leurre en plastique plus ou moins souple comme l'indique son nom: il existe une multitude de ces leurres. Ce sont souvent des leurres peu coûteux, cela permet ainsi d'en acheter des différents. Ils se révèlent assez polyvalents et efficaces lorsque les conditions sont plus difficiles qu'à l'ordinaire, comme lorsque les poissons sont habitués aux poissons-nageurs.
Divers leurres
Des types variés de cuillères volumineuses étant utilisées souvent pour les gros brochets. Par leurs tailles, formes ou couleurs, elles sont adaptées aux espèces, à la luminosité, au type de cours d'eau. Par exemple, en eau trouble, des couleurs lumineuses telle que l'argent sont préférée à la couleur cuivre tachetée de rouge utilisée en torrent de montagne. Le noir est utilisé quand on voit le fond du cours d'eau. La rotation de la cuillère produit dans l'eau des vibrations s'apparentant aux battements d'ailes d'une mouche s'échappant de l'eau. Ainsi le « jeu » du moulinet est crucial car il conditionne l'efficacité du leurre. Il peut être rapide en été (les poissons sont plus vifs qu'en hiver), ou lent (en hiver, les poissons sont engourdis par le froid donc ne vont pas se déplacer sur beaucoup de terrain), ou saccadé.
exemples typiques de pêche à la cuiller :
pêche au brochet (Rivières des Alpes)
pêche à la truite (Torrents corses)
Pêche à la traîne
Article détaillé : Pêche à la traine.
Cette technique consiste à laisser traîner un leurre ou un poisson vif derrière un bateau. Elle se pratique souvent à l'aide d'un écho-sondeur pour suivre les structures et déterminer les endroits les plus propices. Souvent cette pêche est utilisé comme prospection. Une fois qu'une prise est faite, on pêchera au lancer sur le lieu où cette prise a été faites.
Plusieurs accessoires de pêche à la traîne existent :
« downrigger » : boulet de plusieurs kilos à laquelle on fixe la ligne. Cette technique permet d'atteindre de grandes profondeurs
dériveur de surface: flotteur avec des guides qui permet d'entrainer la ligne en dehors du sillage du bateau, pratique pour les eaux peu profondes et ainsi éviter d'effrayer le poisson.
plaque de plongée : plaque qui fait descendre la ligne très profondément. La précision n'est pas aussi grande qu'avec le « Downrigger », elle requiert un équipement lourd.
marcheur de fond : permet d'atteindre des profondeurs intermédiaire mais surtout de s'assurer qu'on est directement au fond.
La pêche aux engins
Pêche à la main
La pêche à la main consiste, en eau douce, à attraper un poisson (généralement un salmonidé) à la main. Pour ceci le pêcheur doit être très discret et/ou très patient et passer ses mains, ses bras et parfois immerger sa tête dans les caches ou se situe les poissons (pierres, racines etc...) mais vif au moment d'attraper le poisson. Cette méthode est interdite en France mais se pratique toujours, souvent par les jeunes campagnards ou ruraux qui n'ignorent rien de cette technique.

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Copyright: Dieter Kik
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Taken: 06/09/2011
Uploaded: 06/09/2011
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Tags: fisherman sport
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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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