Open Map
Close Map
N
Projections and Nav Modes
  • Normal View
  • Fisheye View
  • Architectural View
  • Stereographic View
  • Little Planet View
  • Panini View
Click and Drag / QTVR mode
Share this panorama
For Non-Commercial Use Only
This panorama can be embedded into a non-commercial site at no charge. Read more
Do you agree to the Terms & Conditions?
For commercial use, contact us
Embed this Panorama
WidthHeight
For Non-Commercial Use Only
For commercial use, contact us
LICENSE MODAL

0 Likes

Chapelle Kerdevot Ergue Gaberic Finistere 7878

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ergue-Gaberic 

Ergué-Gabéric est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Elle est située à quelques kilomètres à l'est de Quimper.
Son nom breton est An Erge Vras, signifiant Le Grand Ergué. À l'origine le terme « Erge » en vieux-breton pourrait se décomposer en « ar » signifiant "aux abords de, en avant de", et « kae » pour "haie, talus défensif". Le suffixe Gabéric est probablement issu du patronyme Cabellic, dont les réprésentants du xiiie siècle possédaient le manoir de Lezergué.
Armoiries officielles : "de gueules à la croix potencée d'argent, cantonnée de quatre croisettes de même ; au chef danché d'argent chargé de trois mouchetures d'hermines de sable"

Chapelle Notre-Dame-de-Kerdévot (xve siècle) possédant un vitrail de 1489, un retable flamand (fin XVe-débutxviie siècle), un calvaire du xvie siècle et une statue de Notre-Dame assiErgué-Gabéric est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Elle est située à quelques kilomètres à l'est de Quimper.

http://www.arkae.org/index.php?rex=1&ctn=pub_aff_article.405#pub_aff_article.405
le Retable de Kerdevot: retour annoncé en mai 2012
Le Retable flamand du XVème siècle a quitté la chapelle de Kerdévot le mercredi 24 novembre. Il est confié a l'Atelier de restauration de Kerguéhennec dans le Morbihan. La vitre blindée a été démontée pour effectuer un dépoussiérage de l'ensemble des six panneaux de l'oeuvre magistrale. Le bois a été traité contre les insectes xylophages. Ce toilettage général a permis aux spécialistes d'ausculter l'oueuvre pour connaitre précisément son origine et son âge. Suite au vol de 1973, ce chef d'oeuvre avait été redoré  sans doute hâtivement. Depuis des thèses sur les ouvrages flamands en Bretagne ont permis de mieux cerner la provenance de la pièce dont quatre éléments proviendraient des ateliers d'Anvers et de Malines. L'ouvrage reviendra dans la chapelle au mois de Mai 2012.

View More »

Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 8402x4201
Taken: 04/09/2011
Uploaded: 05/09/2011
Published: 05/09/2011
Views:

...


Tags: chapelle; gothique; old trees
More About Cornouaille

Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


It looks like you’re creating an order.
If you have any questions before you checkout, just let us know at info@360cities.net and we’ll get right back to you.