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allée couverte de Castel-Ruphel à Saint-Goazec Morbihan 2814
Cornouaille

Allée couverte

Une allée couverte est un type particulier de dolmen. Les distinctions entre dolmen long, allée couverte et allée sépulcrale sont parfois difficiles du fait de la continuité d'évolution entre les trois formes standard.
L'allée couverte est un dolmen démesurément long dont la chambre sépulcrale a plus ou moins la même largeur que le couloir. Le tout est recouvert de plusieurs dalles horizontales (tables) qui reposent sur une série de montants latéraux (ou orthostats) inclus dans le tumulus ou qui en débordent vers l'intérieur.
En général, ces « allées couvertes » présentent une hauteur quasi-constante sur toute leur longueur, contrairement aux dolmens dits « à couloir » qui montrent un décrochage plus important entre le chevet (murette ou dalle verticale du fond) élevé et l'entrée du couloir plus basse. Bien sûr, ces différences sont plus ou moins marquées selon le dolmen, et l'appellation « Allée couverte » est donc parfois controversée.
Les allées couvertes les plus représentatives se trouvent en Bretagne, en Île de France et, en nombre beaucoup plus modeste, en Aquitaine. Elles sont en général plus récentes que les dolmens à couloir. Elles ont été, pour une grande majorité, construites au Néolithique final, et au Chalcolithique. Typiquement, dans le Nord-Ouest de la France et le Sud de la Belgique, ces constructions sont rattachées à la culture Seine-Oise-Marne.
Dans le département de l'Aude en Languedoc, certains très longs dolmens à couloir dépassant 15 mètres de longueur (dolmens du Morrel dos Fados et de Saint-Eugène) étaient autrefois dénommés « allées-couvertes ». Leurs descriptions architecturales ne correspondant pas exactement à la définition communément admise (le couloir est ici moins large que la chambre et en général le monument n'était recouvert que par une seule grande dalle), ils sont aujourd'hui appelés « dolmens à couloir large ».
Le terme allée sépulcrale a été employé dès le xixe siècle pour désigner des fosses rectangulaires, délimitées par des pierres dressées et souvent non couvertes ou partiellement couvertes. On peut employer ce terme particulièrement lorsque l'allée se présente encavée, et dans tous les cas sa fonction funéraire est attestée. L'exemple typique d'allée sépulcrale est le monument mégalithique de la Cave aux Fées à Brueil-en-Vexin.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Allee_couverte

Saint-Goazec (Sant-Wazeg en breton) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
La commune de Saint-Goazec est délimitée au nord par le cours de l'Aulne canalisé, et à l'ouest par un de ses affluents. La commune est très vallonnée. En effet, on y trouve plusieurs sommets appartenant à la chaîne des Montagnes Noires : le Roc'h an Aotrou situé à l'extrémité sud qui domine du haut de ses 304m la vallée de l'Aulne et le Menez an Dug au pied duquel l'Odet prend sa source.
Les origines
Selon certains auteurs, le nom de cette commune viendrait de saint Woazec ou Gwazec, disciple de saint Patrice et évêque en Irlande. Comme ce nom apparaît tardivement, il est possible qu'il ne s'agisse que d'un "San Wazec", c'est-à-dire littéralement une "vallée riche en sources et ruisseaux".
Saint-Goazec est issu d'un démembrement de la paroisse de Laz sous le Concordat, époque à laquelle elle prend le statut de paroisse. Elle était jusque là une trève de la seconde. Saint-Goazec dépendait de l'ancienne seigneurie de Laz également, puis de celle de La Roche et Laz dans l'ancien évêché de Cornouaille. On trouve les appellations suivantes : Saint Goazec (en 1643), Saint Ouazec (en 1695), Saint Goazec (en 1700).
Le fief de Trévarez[modifier]
Le fief de Trevarez appartient en 1601 à Jean de Linloët. Cette terre est saisie sur cette famille par Anne de Coatanezre, marquise de la Roche et Laz, le 19 octobre 1623. Elle passe ensuite, par alliance, entre les mains de la famille de Kernezne qui habite Trévarez en 1660 et 1759. Cette terre, ainsi que celle de Trégoazec, est acquise peu après par la famille Monjaret de Kerjégu. D'une superficie de 2600 ha, le domaine possède 1200 ha de terres labourables divisées en quarante exploitations, 700 ha de landes, 700 ha de bois.
La ferme-école de Trévarez[modifier]
La ferme-école de Trévarez est créée en 1847 par Louis de Kerjégu. En 1865, son siège est transféré à Kerwazec, en plein cœur des montagnes Noires. D'une superficie de 188 ha, dont 40 ha de terres labourables, 16 ha de prés, 118 ha de bois, la ferme-école voit ses bâtiments achevés en 1866 et accueille chaque année une dizaine d'apprentis. La ferme-école a largement contribué à développer les nouveaux procédés de culture, l'irrigation, le drainage, la propagation des plantes fourragères, etc.2.
La commune de Saint-Goazec est connue pour ses sabotiers/charbonniers qui vécurent au cours des siècles passés (xviiie-xixe siècle) dans les forêts et bois environnants et pour ses ardoisières ( Le Rick ("la Montagne")- Le Raker- Guernangoc) dont l'exploitation s'est interrompue dans les années 1950-1960.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Goazec

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Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
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Taken: 09/10/2010
送信日: 12/10/2011
Published: 12/10/2011
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Tags: megalithe
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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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